Montag, 8. Dezember 2014

Gastbeitrag: La rose de la mort

Wie können die Wörter « Samstag, ein Auge, eine alte Frau, Regen und Ratschlag » miteinander verbunden werden? 
Johanna Fenzl aus der 8b schrieb im Französischunterricht aus diesen Wörtern eine spannende Kriminalgeschichte, die in einem kleinen, verregneten Dorf im Norden Schwedens spielt....


La rose de la mort

 

C’était samedi et comme tous les samedis, il y avait un marché à Vliegenbach.
Vliegenbach, c’est un petit village au nord de la Suède. Il fait souvent mauvais là-bas mais il y a aussi de la nature pittoresque. Ce jour-là, ce n’était donc pas de surprise qu’il pleuvait. Jacqueline, la fille la plus belle de Vliegenbach, est allée au marché.
Elle avait les yeux bleus, les cheveux blonds- tout le monde à Vliegenbach se demandait pourquoi elle n’avait pas encore déménagé à une ville, et- pourquoi elle n’avait pas de copain. Dans ce petit village, il y avait beaucoup des baratineurs et comme il n’y avait rien d’autre qui étatait intéressant, ils ont parlé de Jacqueline.
Cependant, Jacqueline est allée au marché pour acheter des fleurs. Personne ne le savait, mais elle avait un amant. 

Jacqueline allait au marché presque tous les samedis, alors elle a tout de suite remarqué que quelque chose a changé. D’abord, elle a vu une nouvelle marchande qui vendait des fleurs. En outre, il y avait  beaucoup de vieux hommes… Tout le monde était tranquille. Ainsi, on peut dire que c’était bizarre. Jacqueline voulait acheter une rose pour son amant, car ils voulaient se rencontrer pour la première fois. On ne le voyait pas, mais elle était un peu nerveuse. Les lettres de son amant étaient dee fois un peu bizarre et, en plus, elle ne connaissait pas son nom…
Au marché, elle voulait acheter la rose chez la nouvelle marchande. C’était une vieille femme. Elle s´approchait de la dame quand un vieux homme lui a dit : « Mais attends, ma jolie fille. Si on est si belle que toi, il faut faire attention ici. » Jacqueline n’as pas répondu. Elle n’avait pas peur, mais elle devait avouer que tout était bizarre aujourd’hui. 
Quand elle a choisi une belle rose et elle l’a voulue payer, la marchande l’a saisie à sa main. « Je te donne un conseil. Fais attention, Jacqueline. Il y a des choses, bref, des mecs bizarres ici… » « Ouais, je l’ai remarqué !- Mais- pourquoi est-ce que vous connaissez mon nom ?! »
Maintenant, Jacqueline avait peur. Mais elle a pensé : « Tout le monde ici est fou ! Il ne faut pas les écouter ! »
Jacqueline et son amant voulaient se rencontrer devant l’église. Tout à coup, il y a été du tonnerre. Jacqueline se dépêchait mais elle a  tout de suite arrêté de courir quand elle a vu un homme avec un t-shirt noir. Il ne regardait pas Jacqueline, mais elle  l’a déjà reconnu. « William », a-t-elle chuchoté. À ce moment, il y a eu un éclair. William s’est retourné. Il a rit méchamment. D’abord à voix basse, après à voix haute. Jacqueline a crié et elle a essayé de courir. Mais c’était déjà trop tard. Un couteau se trouvait maintenant exactement dans son cœur.
Les baratineurs de Vliegenbach n’avaient jamais beaucoup à parler. Effectivement, ils avaient assez maintenant.
On a trouvé le cadavre avec un petit papier « Ta grâce et ta beauté étaient ta mort » et une rose, déposé exactement sur le cœur.
Le meurtre n’était jamais acquis.

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